jeudi 24 mars 2011

Gare au gorille !

Georges ne lisait pas que François Villon.

En ces temps de commémoration de l'immense Georges Brassens, rappelons-nous que, selon des sources très fiables, Georges ne posait sa guitare que pour se plonger dans la corrosive lecture des Bêtes où il y puisait, dit-on, toute son inspiration...
A moins que ça ne soit le contraire, je ne sais plus...

1 commentaire:

  1. Mâ qué bella référencia ! Jeu de mot bien trouvé, d'autany plus que je ne me friterais pas moi non plus au bon gros chef gorille accompagnée de son harem !

    Mouarfmowarmârf. Et merci encore pour le nounours (tope-la mon pote) !

    Naney ! (Le type awec les ch'veux assez longs qui t'as gribouillé des pitits dessins en témoignage de son admiration pour ces bêtes)

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